Bondage ....
14 avril 2014
Un jeu que l'on aime bien ...ne vous en faites pas ,ça fait pas bobo ...mais c'est super excitant ....
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Anonyme
20 novembre 2021 - 16h41
On dit souvent que les extrêmes s'attirent. De petite taille, elle était toute menue avec des petites fesses, des petits seins.
Un corps de gamine en quelque sorte.
Avec une bonne vingtaine de centimètres de plus qu'elle, j'étais plutôt athlétique, avec des hanches et des cuisses généreuses, accentuées par l'arrêt de la pratique de la gymnastique en compétition.
Nous avions une attirance mutuelle que je ne pouvais expliquer me concernant, autrement que par le fantasme inavoué de lui faire découvrir le sexe avec son physique d'enfant.
Quand nous faisions l'amour, j'étais transportée dans un univers propre à l'initiation, comme si je lui faisais découvir sa sexualité.
Je commentais chacun de mes gestes, avec pédagogie, caressant tantôt ses seins qui tenaient presque entièrement dans la paume de ma main ou introduisant délicatement un doigt dans son vagin très étroit et aride qui n'avait jusqu'alors accueilli que des tampons périodiques. Elle raffolait de mes seins de taille respectable, au milieu desquels sous ses caresses, se dressaient fièrement leurs pistils, de mes rondeurs qu'elles massaient voluptueusement en faisant rouler ses doigts sur ma peau. Mais elle aimait surtout quand j"étais adossée à un oreiller face à elle, posée sur mes avant bras, les jambes faisant le grand écart au point qu'elles séparaient totalement mes grandes lèvres pour révéler intégralement l'anatomie de mon sexe. Elle pouvait y glisser la pointe de sa langue agile pour explorer dans les moindres recoins des tissus tapissés d'une substance caséeuse qui trahissant le plaisir que j'éprouvais déjà, en même temps que ses mains pouvaient caresser mes seins aux rondeurs maternelles.
Assez autoritaire, elle dirigeait nos rapports et je me soumettrais docilement à ses fantaisies tant qu'elles restaient conventionnelles, ce qui excluait, malgré son insistance, qu'elle introduise quoi que ce fut dans mon anus. Tout juste étais-je disposée à accepter que l'extrémité d'un doigt s'aventure à l'entrée de l'orifice.
Au fil du temps, j'avais perçu sa frustration sans toutefois céder à ce fantasme grandissant qui était vecteur de dégoût, et non de plaisir.
Un matin, j'eus la surprise de me réveiller inhabituellement étendue sur le ventre, la joue posée sur l'oreiller. En voulant me relever, je constatais que mes bras étaient entravés....
Très rapidement, je me rendis compte que mes mains étaient liées derrière mon dos. En tentant de ramener mes genoux sous mon buste pour me redresser, je faisais le même constat. Mes chevilles, dont chacune était attachée à un des pieds antérieur du lit maintenaient mes jambes largement écartées.
J'étais seule dans la maison et c'est en me En relevant la tête, une feuille de papier collée sur la tête du lit avec le message suivant <à ce soir> m'informait que j'étais seule dans la maison.
En recouvrant progressivement mes esprits, tout devenait parfaitement clair.
De toute évidence, il ne s'agissait pas s'un cambriolage. J'avais été droguéé à mon insu, vraisemblablement lors du dîner que nous avions partagé la veille, sans doute avec un soporifique puissant.
De toute évidence mon amie me réservait une surprise et m'avait appareillée de la sorte pour m'imposer quelque chose auquel j'étais opposée.
J'ai tout de suite pensé au rapport anal que je lui avais systématiquement refusé, malgré son insistance croissante, et mon inquiétude résidait surtout quant aux conditions dans lesquelles elle voulait assouvir son fantasme, seule ou peut être avec d'autres protagonistes.
J'étais à la fois traversée par une coupable excitation de vivre quelque chose qu'interdisait ma conception de la sexualité résultant de mon éducation,
et par la peur d'une mise en scène que j'ignorais.
Connaissant mon passé de gymnaste et ma souplesse, elle savait qu'en me laissant un tant soi peu de liberté de mouvement, je ne renoncerai pas à me libérer, tout en étant elle même convaincue que je n'y parviendrai pas.
D'abord je devais détacher mes mains, et en me contorsionnant, je parvins à voir comment j'étais ficelée grâce au miroir fixé sur le mûr opposé à la tête du lit.
Manifestement, elle avait soigneusement préparé son projet.
Liant solidairement mes deux avant bras croisés avec un noeud très serré, une sangle plate et adhérentes rendait toute tentative de me détacher seule improbable.
Elle l'avait nouée positionnée loin de mes mains de sorte qu'elles ne puissent pas m'en saisir.
Sa texture caoutchouteuse qui collait littéralement à la peau m'empêchait de la faire glisser jusqu'au poignets et quand bien même j'y serai parvenue, il aurait été impossible d'en saisir les extrémités qu'elle avait coupées à ras après les noeuds.
Il ne me restait d'autre alternative que de détacher préalablement mes chevilles afin de pouvoir me déplacer librement dans la maison en espérant trouver un outil coupant et accessible pour sectionner les sangles.
Optant pour cette solution, je parvins à me laisser glisser sur le ventre jusqu'au bord du lit pour poser mes pieds au sol, avant de fléchir les jambes suffisamment pour m'asseoir à terre face au lit sans toutefois perdre l'équilibre et basculer en arrière sur le dos.
Je me retrouvais Les fesses posées sur le sol face au lit, les jambes écartées, et ne pu m'empêcher de laissais échapper un soupir de résignation en constatant que mon amie avait pensé à tout.
Les sangles qui maintenaient chacune de mes chevilles attachées à un des pieds antérieurs du lit, en faisaient plusieurs fois le tour avant de rejoindre ceux, à l"autre extrémité du lit auxquelles elles étaient attachées si bien qu'il m'était impossible d'en atteindre l'extrémité.
Eloignée de moins d'un mètre du bord lit auquel je faisais face, les jambes maintenues écartées, j'aurais été obligée d'effectuer un grand écart facial pour me retrouver ventre à terre, et tenter de me glisser sous le lit pour atteindre les deux pieds situés à l'autre extrémité du lit en espérer dénouer les sangles avec ma seule bouche.
C'était à quitte ou double, car si j'échouais, je n'aurais plus l'énergie suffisante pour toute autre tentative de libération.
Regardant autour de moi tout ce qui pourrait m'aider, je ne constatais guère autre chose qu'un radio réveil posé sur une table de nuit et un pot de chambre placé au pied du lit près de l'endroit où j'étais assise afin que je puisse éventuellement uriner, envisageant que je pourrais l'atteindre
Elle n'avait évidemment rien laissé au hasard, imaginant comment je chercherais à me libérer, entretenant un climat de stress avec la présence du réveil, agissant tel un compte à rebours...
Un corps de gamine en quelque sorte.
Avec une bonne vingtaine de centimètres de plus qu'elle, j'étais plutôt athlétique, avec des hanches et des cuisses généreuses, accentuées par l'arrêt de la pratique de la gymnastique en compétition.
Nous avions une attirance mutuelle que je ne pouvais expliquer me concernant, autrement que par le fantasme inavoué de lui faire découvrir le sexe avec son physique d'enfant.
Quand nous faisions l'amour, j'étais transportée dans un univers propre à l'initiation, comme si je lui faisais découvir sa sexualité.
Je commentais chacun de mes gestes, avec pédagogie, caressant tantôt ses seins qui tenaient presque entièrement dans la paume de ma main ou introduisant délicatement un doigt dans son vagin très étroit et aride qui n'avait jusqu'alors accueilli que des tampons périodiques. Elle raffolait de mes seins de taille respectable, au milieu desquels sous ses caresses, se dressaient fièrement leurs pistils, de mes rondeurs qu'elles massaient voluptueusement en faisant rouler ses doigts sur ma peau. Mais elle aimait surtout quand j"étais adossée à un oreiller face à elle, posée sur mes avant bras, les jambes faisant le grand écart au point qu'elles séparaient totalement mes grandes lèvres pour révéler intégralement l'anatomie de mon sexe. Elle pouvait y glisser la pointe de sa langue agile pour explorer dans les moindres recoins des tissus tapissés d'une substance caséeuse qui trahissant le plaisir que j'éprouvais déjà, en même temps que ses mains pouvaient caresser mes seins aux rondeurs maternelles.
Assez autoritaire, elle dirigeait nos rapports et je me soumettrais docilement à ses fantaisies tant qu'elles restaient conventionnelles, ce qui excluait, malgré son insistance, qu'elle introduise quoi que ce fut dans mon anus. Tout juste étais-je disposée à accepter que l'extrémité d'un doigt s'aventure à l'entrée de l'orifice.
Au fil du temps, j'avais perçu sa frustration sans toutefois céder à ce fantasme grandissant qui était vecteur de dégoût, et non de plaisir.
Un matin, j'eus la surprise de me réveiller inhabituellement étendue sur le ventre, la joue posée sur l'oreiller. En voulant me relever, je constatais que mes bras étaient entravés....
Très rapidement, je me rendis compte que mes mains étaient liées derrière mon dos. En tentant de ramener mes genoux sous mon buste pour me redresser, je faisais le même constat. Mes chevilles, dont chacune était attachée à un des pieds antérieur du lit maintenaient mes jambes largement écartées.
J'étais seule dans la maison et c'est en me En relevant la tête, une feuille de papier collée sur la tête du lit avec le message suivant <à ce soir> m'informait que j'étais seule dans la maison.
En recouvrant progressivement mes esprits, tout devenait parfaitement clair.
De toute évidence, il ne s'agissait pas s'un cambriolage. J'avais été droguéé à mon insu, vraisemblablement lors du dîner que nous avions partagé la veille, sans doute avec un soporifique puissant.
De toute évidence mon amie me réservait une surprise et m'avait appareillée de la sorte pour m'imposer quelque chose auquel j'étais opposée.
J'ai tout de suite pensé au rapport anal que je lui avais systématiquement refusé, malgré son insistance croissante, et mon inquiétude résidait surtout quant aux conditions dans lesquelles elle voulait assouvir son fantasme, seule ou peut être avec d'autres protagonistes.
J'étais à la fois traversée par une coupable excitation de vivre quelque chose qu'interdisait ma conception de la sexualité résultant de mon éducation,
et par la peur d'une mise en scène que j'ignorais.
Connaissant mon passé de gymnaste et ma souplesse, elle savait qu'en me laissant un tant soi peu de liberté de mouvement, je ne renoncerai pas à me libérer, tout en étant elle même convaincue que je n'y parviendrai pas.
D'abord je devais détacher mes mains, et en me contorsionnant, je parvins à voir comment j'étais ficelée grâce au miroir fixé sur le mûr opposé à la tête du lit.
Manifestement, elle avait soigneusement préparé son projet.
Liant solidairement mes deux avant bras croisés avec un noeud très serré, une sangle plate et adhérentes rendait toute tentative de me détacher seule improbable.
Elle l'avait nouée positionnée loin de mes mains de sorte qu'elles ne puissent pas m'en saisir.
Sa texture caoutchouteuse qui collait littéralement à la peau m'empêchait de la faire glisser jusqu'au poignets et quand bien même j'y serai parvenue, il aurait été impossible d'en saisir les extrémités qu'elle avait coupées à ras après les noeuds.
Il ne me restait d'autre alternative que de détacher préalablement mes chevilles afin de pouvoir me déplacer librement dans la maison en espérant trouver un outil coupant et accessible pour sectionner les sangles.
Optant pour cette solution, je parvins à me laisser glisser sur le ventre jusqu'au bord du lit pour poser mes pieds au sol, avant de fléchir les jambes suffisamment pour m'asseoir à terre face au lit sans toutefois perdre l'équilibre et basculer en arrière sur le dos.
Je me retrouvais Les fesses posées sur le sol face au lit, les jambes écartées, et ne pu m'empêcher de laissais échapper un soupir de résignation en constatant que mon amie avait pensé à tout.
Les sangles qui maintenaient chacune de mes chevilles attachées à un des pieds antérieurs du lit, en faisaient plusieurs fois le tour avant de rejoindre ceux, à l"autre extrémité du lit auxquelles elles étaient attachées si bien qu'il m'était impossible d'en atteindre l'extrémité.
Eloignée de moins d'un mètre du bord lit auquel je faisais face, les jambes maintenues écartées, j'aurais été obligée d'effectuer un grand écart facial pour me retrouver ventre à terre, et tenter de me glisser sous le lit pour atteindre les deux pieds situés à l'autre extrémité du lit en espérer dénouer les sangles avec ma seule bouche.
C'était à quitte ou double, car si j'échouais, je n'aurais plus l'énergie suffisante pour toute autre tentative de libération.
Regardant autour de moi tout ce qui pourrait m'aider, je ne constatais guère autre chose qu'un radio réveil posé sur une table de nuit et un pot de chambre placé au pied du lit près de l'endroit où j'étais assise afin que je puisse éventuellement uriner, envisageant que je pourrais l'atteindre
Elle n'avait évidemment rien laissé au hasard, imaginant comment je chercherais à me libérer, entretenant un climat de stress avec la présence du réveil, agissant tel un compte à rebours...
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lechom
30 août 2014 - 10h24
plus qu'a te promener par les seins et faire ce que l'on veut de toi mmhh j'aime bien
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dam0169
29 août 2014 - 08h50
bien ligoté , c'est tellement bon d'etre attachée et bien soumise ....
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nounours34
11 juin 2014 - 07h27
hummm j'aimerai les téter quand ils sont ficelés comme celà!!!
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saffred
19 mai 2014 - 11h59
moi je te detacheras bien pour mieu de banguer avec tout mon respect sa doit etre trop bon une branlette espagnol mahhaa
faisont connaissance;;
faisont connaissance;;
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diby
6 mai 2014 - 05h11
dommage de ne pas communiquer suis sur 11 a bientot..... merci
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sloogy
26 avril 2014 - 05h35
Et ça fait gonfler ces seins magnifiques......sur lesquels on dort si bien....tot.....lol léchouilles coquines
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Goldsex
16 avril 2014 - 12h14
très belle femme créature de rêve qui fait tournée la tête
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bb73
16 avril 2014 - 08h09
je te crois tu verrais ma queue
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Rolys
15 avril 2014 - 13h41
Magnifique paires de seins bien gonflés par le bondage ! avec de grandes aréoles et de beaux tétons ! comme j'aimerai les caresser ,les palper , les téter ! ils doivent être bien dure ! j'adore ! continuer et faite une vidéo montrant le bondage , c'est super bandant !! pleins de bisous sur ces deux obus !
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BIENFOUTUMUSCLE
15 avril 2014 - 12h56
sublime lol t la meilleure faut je te parle lolll jai pire en homme lol
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agapi
15 avril 2014 - 05h36
Je peux, si vous le souhaitez, vous donner des cours de bondage
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vic
14 avril 2014 - 09h41
C'est une poitrine magnifique et j'adore ces seins ligotés...
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francoisemariee
14 avril 2014 - 07h27
hummmm oui en effet ces jeux la sont tres excitants j'adore les jeux bondage et plus ...j'aime etre offerte baillonnée et ligotée ..par mon mari ....
surtout que tes seins semblent fait pour ça , bien gros ....bravo pour ces photos
francoise
surtout que tes seins semblent fait pour ça , bien gros ....bravo pour ces photos
francoise
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tomy83
14 avril 2014 - 06h25
trés excitantes vos séries de photos..... à quand les bijoux pour tétons, vite j’espère...
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Pascal
14 avril 2014 - 06h08
Bonjour a vous je suis un fan de ce jeu si vous voulez j'aimerai bien participé avec vous bisous
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dan et linda
14 avril 2014 - 04h58
Il faudra que tu viennes me montrer sur linda comment tu fais...serais tu ok Dan???
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mistermilk
13 avril 2014 - 23h43
hummmm j'ai toujours une de ces env de la téter !!!! que douceur , quel beauté
j'ai trop envie de la bouffer
j'ai trop envie de la bouffer
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